vendredi 30 mai 2014

PROTECTION DU TOIT /ECRAN SOUS-TOITURE

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ÉCRAN DE SOUS-TOITURE DE VD-COUVERTURE91

L’écran de sous-toiture est un élément essentiel de la toiture. 

ÉCRANS DE SOUS-TOITURE POUR UNE MEILLEUR PROTECTION DE VOTRE TOIT

UTILISATION D'UN ÉCRAN DE SOUS-TOITURE

Sur la surface de la toiture le seul assemblage des petits éléments de couverture entre eux ne suffit pas à assurer l'étanchéité à l'air et aux éléments qu'il transporte: fines gouttes d'eau, pollen, poussière, et autres. Souvent oubliés ou méconnus, les écrans de sous toiture sont des produits qui améliorent très nettement la protection complémentaire de la maison et ouvrent des perspectives aux concepteurs.

La toiture doit être étanche pour préserver la charpente en l’isolant mais elle doit également permettre à la maison d’évacuer l’humidité de l’air intérieur.

De plus, si une tuile ou ardoise est accidentellement endommagée, l’écran de sous toiture assure momentanément l’étanchéité du toit avant réparation. Autre avantage d’un écran : il élargit le choix de tuiles et ardoises pour les toits à faible pente. D’autre part, si la maison se trouve en site particulièrement exposé et si l’on utilise des tuiles ou ardoises de récupération, la pose d’un écran souple de sous-toiture est souvent imposée et recommandée.

LES ÉCRANS DE SOUS-TOITURE


Perméable à la vapeur d’eau et hydrofuge


Si vd-couverture91 est un des principal installateur  d’écrans de sous-toiture en ile de France, c’est parce que les produits de sous-toiture sont aussi développés, testés et contrôlés au sein de l’entreprise. Les écrans de sous-toiture  sont à la fois étanches à l’eau et perméables à la vapeur. En fonction du type, les écrans de sous-toiture sont constitués de 3 ou 4 couches, en fonction de la présence ou non d’une armature.

Les écrans de sous-toiture présentent d’excellents résultats en ce qui concerne la résistance à la traction et au poinçonnement et ce aussi bien dans le sens longitudinal que transversal.

POSE FACILE

Les écrans de sous-toiture sont très légers et conditionnés en rouleaux . Des marquages sur les membranes indiquent le recouvrement nécessaire (en fonction de l’inclinaison de la toiture).
L’application comme écran de sous-toiture hautement perméable à la vapeur d’eau
Grâce à sa technologie unique,permet à un écran de sous-toiture d'être révolutionnaire pour l'étanchéité avec des caractéristiques fortement intéressantes :
Très haute perméabilité à la vapeur d’eau
Evite ainsi la formation de condensation dans l’isolant sous le toit et favorise la respirabilité de la sous-toiture. Un autre film devra être ventilé sur le côté inférieur, tandis que les types ‘respirants’ pourront être posés directement sur l’isolation.

étanchéité parfaite de votre toit
Empêche l’humidité, et particulièrement l’eau de pluie et la neige de pénétrer dans l’isolant sous le toit, y compris dans des conditions climatiques extrêmes. Il forme une barrière parfaite contre l’eau d’infiltration (pluie battante, neige poudreuse, etc.…) qui passe à travers la couverture. Grâce à sa structure non tissée complexe, la membrane de l'écran sous-toitue offre une résistance à la colonne d’eau supérieure à un film micro-perforé.

Permet de réaliser des économies d’énergie conséquentes
L’adoption d’un écran hautement perméable à la vapeur d’eau  permet d’améliorer considérablement les performances thermiques des bâtiments. L’élimination de la ventilation des combles du toit rend les bâtiments plus chauds, plus secs et plus écologiques, permettant ainsi de réduire la circulation de l’air et donc de chauffer moins l’habitation. Un écran sous-toiture évite les déperditions de chaleur tout en empêchant la condensation.

Légèreté et solidité= garantie pour votre toit
Tout en étant très léger,l'écran sous-toiture est extrêmement résistant ,ce qui constitue des gains de poids importants pour la sous-toiture d’un bâtiment ! pratiquement indéchirable, la membrane de l'écran de sous-toiture fait preuve d’une résistance exceptionnelle à la perforation, à l’éclatement et à l’usure. La grande résistance mécanique assure une longue durée de vie sans endommagements et sécurité supplémentaire lors de la pose et elle permet d’utiliser toutes les techniques d’installation.

Facilité et rapidité de mise en œuvre
La légèreté, flexibilité et solidité d'un écran de sous-toiture contribuent à la facilité et à la rapidité de sa mise en œuvre. La légèreté est plébiscitée par les couvreurs de vd-couverture91 car elle facilite le transport sur les chantiers, ainsi que les déplacements et la mise en œuvre sur les toits.  Quant à la solidité, elle constitue un sérieux gage de sécurité, en cas de faux-pas sur le toit. Pour éviter l’aveuglement par le rayonnement du soleil certaines versions de la gamme sont sur-imprimées.
 Durabilité dans le temps
Sa conception ainsi que ses qualités  confèrent longévité et durabilité à la membrane de l'écran de sous-toiture ,résistant aux UV et à l’épreuve du temps, les qualités d'un écran de sous-toiture demeurent inchangées au fil du temps, y compris dans des conditions météorologiques extrêmes. Des expériences ont démontré le maintien des performances après 20 ans d’utilisation. Un écran de sous-toiture ne nécessite aucun entretien, la durée de vie de la membrane correspond à la durée de vie de l’habitation.

Entièrement recyclable la matière première de l'écran de sous-toiture est 100 % recyclable.



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dimanche 25 mai 2014

ABECEDAIRE DE LA TOITURE COUVERTURE

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Les différents éléments d'une charpente
Appentis: versant du toit appuyé à un bâtiment plus grand.

Arbalétrier: partie de la ferme allant de l’entrait au poinçon supportantles pannes
Arêtier: pièce de bois allant de l’entrait au poinçon et supportant les pannes en angle saillant. Inverse de la noue
Auvent: petite toiture placée au dessus d’une ouverture
Blochet: pièce de bois qui joint la jambe de force à la cime du mur ou du poteau et assemble le pied d’arbalétrier.
Chevêtre: entourage d’une trémie
Chien assis: lucarne dont la pente du toit est à l’inverse de celle du comble
Contrefiche: pièce de bois qui qui supporte l’arbalétrier par assemble dans le poinçon
Comble: espace délimité par la charpente
Ferme: ensemble porteur d’une charpente placée transversalement au bâtiment
Fermette: ferme légère formant directement chevron
Jouée: coté d’une lucarne. Petit mur élevé par rapport au rampants de la lucarne
Lucarne: système de fenêtre aménagé dans un comble habitable
Moises: pièces de bois jumelées parallèles entre elles et assemblant d’autres pièces comme un entrait et une jambe de force
Noue : pièce de bois placée à l’intersection de deux versants formant un angle rentrant: Inverse de l’arêtier
Noulet: petite noue au droit des lucarnes
Pannes: pièces de charpente passant sur l’arbalétrier et supportant les chevrons
Poinçon: pièce de bois verticale à l’aplomb de la ferme et assemblant les arbalétriers, les contrefiches et le faîtage
L’arêtier:  angle saillant formé par la rencontre de deux versants

La noue: angle rentrant formé par la rencontre de deux versants
Le faîtage: Ligne la plus haute d’un toit formé par la rencontre de deux versants.
Égout: ligne la plus basse d’un toit
Aisselier : pièce de comble, droite ou courbe.
Placée sous l’entrait, elle renforce l’assemblage de deux pièces maîtresse de la charpente,
pour empêcher leur écartement ou déformation, en reprenant une partie des charges.

Arête : angle saillant formé par la rencontre de deux surfaces planes.
Une poutre comporte quatre arêtes.

Assemblage à mi-bois : assemblage de deux pièces entaillées sur la moitié de leur épaisseur.

Aubier : couches de bois située juste sous l’écorce d’un tronc d’arbre.
Elles constituent la partie du bois la plus jeune et la plus tendre.

Auvent : petite toiture de protection en saillie sur un mur, placée au-dessus d’une porte ou d’une fenêtre.
Biseau : plan oblique taillé dans l’arête d’une pièce de bois, se raccordant avec les surfaces adjacentes par des angles inégaux(à la différence du chanfrein).
Blochet : pièce de bois horizontale de renfort reliant un arbalétrier à une jambe de force.
Chanfrein : plan oblique tailler dans l’arête d’une pièce de bois, se raccordant avec les surfaces adjacentes par des angles égaux(à la différence du biseau).

Chantournage ou Chantournement : découpage d’un matériau suivant un tracé courbe.

Chevêtre :pièce reliant deux solives pour ménager une ouverture (la trémie) dans un plancher.

Cheville :tige de bois cylindrique ou conique servant à fixer des assemblage.

Chevron : pièce de bois placée sur les pannes et la sablière, dans le sens de la pente du toit, et
supportant de lattis ou le voligeage destiné à recevoir le matériau de couverture.

Colombage : système de charpente de mur à pans de bois dont les vides sont garnis de maçonnerie légère.
Le colombage fut en vogue en France et dans toute l’Europe entre le XIe siècle et le XVIIIe siècle.

Comble : partie supérieure d’un bâtiment, comprenant charpente et toiture.
Espace intérieur compris entre le plancher haut et la toiture.


Contrefiche : pièce de bois oblique d’une ferme en appui sur le poinçon, qui soutient et renforce l’arbalétrier.

Contreventement :pièce oblique de consolidation par triangulation empêchant toute déformation d’une ossature par poussé horizontale (notamment sous l’effet du vent).

Corbeau : support scellé dans un mur et formant une saillie, destiné à supporter une autre pièce
( balcon, poutre,.…).

Cordeau : cordelette non élastique, enduite d’un produit marquant (craie, encre) que l’on tend entre
deux points pour tracer une ligne droite.
Elle peut également servir à aligner deux éléments.

Coyau : petite pièce de bois en sifflet rapportée au bas d’un chevron pour le prolonger
et adoucir la pente en partie basse d’un comble.
 Cruck : type de charpente à arbalétriers courbes reposant directement sur le sol.
Echantignole : cale de bois fixée sous un chevron pour empêcher toute rotation d’une panne,
ou sur un arbalétrier pour supporter les pannes intermédiaires.
Echarpe : pièce de bois placée en diagonale dans un ouvrage de charpente
ou de menuiserie pour en prévenir la déformation.
Embrèvement : assemblage de deux pièces de bois taillées en oblique.
Il permet par exemple de renforcer un assemblage à tenon et mortaise.
Empanon ou empannon : chevrons de différentes longueurs fixés en bout aux arêtiers
( relient l’arêtiers aux sablières ) ou aux noues ( relient la noue au faîtage ).

Enchevêtrure : assemblage de pièces d’une charpente visant à y ménager une ouverture ( la trémie ).
Entrait : pièce horizontale d’une ferme sur laquelle sont assemblés les pieds des deux arbalétriers.
L’entrait s’oppose à l’écartement des arbalétriers, et agit donc en traction.
Entrait retroussé ou faux-entrait : entrait placé plus haut que les pieds des arbalétriers, pour libérer de l’espace sous les combles.
Il maintient en compression l’écartement des arbalétriers.
Entretoise : pièce de bois ou de métal servant maintenir un écartement constant entre deux autres pièces.
Enture : assemblage de deux pièces de bois bout à bout, pour forer un élément d’un seul tenant.
Etrésillon : pièce de bois soumises à compression, maintenant l’écartement entre deux éléments.
Etrier : petite pièce de bois fixée au sommet d’une ferme pour soutenir la panne faîtière.
Grume : pièce de bois non équarrie, obtenue à partir d’un tronc d’arbre abattu, ébranché,
dépouillé de son écorce mais conservation encore son aubier.
Jambe de force : dans une ferme, pièce reliant en oblique l’arbalétrier au poteau ou au mur de soutien afin de réduire sa portée.
Linteau : pièce allongée placée au-dessus d’une baie, et qui supporte le mur au-dessus.
On utilise également un linteau au dessus d’un encorbellement.
Maillet : marteau à grosse tête symétrique en bois dur, permettant au charpentiers de frapper
les outils manuels (ciseaux, gouges, etc.…)?
Marque de charpentier : référence gravée dans chaque pièce lors de son façonnage, indiquant son positionnement
dans l’ossature.
Mi-bois : type d’assemblage dans lequel deux pièces de bois sont entaillées sur la moitié de leur épaisseur.
Moise : assemblage de deux pièces de bois jumelles qui en serrent et renforcent une autre pièce, permettant d’éviter de réaliser un assemblage.
Mortaise : cavité pratiquée dans une pièce de bois pour recevoir le tenon d’une autre pièce,
permettant l’assemblage des deux éléments. On nomme ce mode d’assemblage
« à tenon et mortaise?».
Noue : pièce posée en diagonale suivant la ligne d’angle rentrant formée par l’intersection inclinée
de deux pans de toiture.
Ossature à bas-côtés : ossature à laquelle une allée ou une architecture latérale de hauteur moindre a été ajoutée
pour élargir le bâtiment.
Ossature de pignon : ossature transversale située à l’extrémité d’un bâtiment.
Panne : pièce horizontale d’une charpente portant sur les arbalétriers et supportant les chevrons.
Panne faîtière : panne soutenant l’extrémité supérieure des chevrons au sommet du toit.
Parement : surface apparente d’un ouvrage, d’une pièce.
Pas : entaille à angle droit pratiquée dans une sablière pour lui permettre de soutenir un chevron.
La profondeur du pas doit correspondre à un tiers de l’épaisseur du chevron.
Pièce maîtresse : pièce faisant partie de deux ou trois plans de l’ossature à la fois.
Pièce secondaire : pièce ne faisant partie que d’un seul plan de l’ossature.
Pignon : partie supérieure triangulaire de la façade d’un bâtiment, parallèle aux fermes, qui porte les pannes et surmonte le mur de refend.
Poinçon : poteau central d’une ferme. Il est souvent chantournés à des fins décoratives.
Pont de thermique : partie d’une construction présentant un défaut d’isolation, et provoquant à cet endroit
une perte de chaleur anormale.
Point de rosée : température à laquelle, pour une pression donnée, la vapeur d’eau se condense.
Poteau : pièce maîtresse verticale.
Queue d’aronde ou d’hironde: assemblages de deux pièces de bois dont les extrémités sont taillées en queue d’hirondelle,
l’une en saillie, l’autre en retrait, et s’emboîtant exactement l’une dans l’autre.

Sablière : poutres horizontales d’un seul tenant, placée dans une ossature murale.
La sablière d’étage porte les solives. La sablière haute porte les chevrons, et parfois les fermes elles-mêmes.
Solives : poutres horizontales soutenant le plancher de l’étage.
Tenon et mortaise : assemblage courant de deux pièces de bois dans lequel la partie mâle saillante
(tenon) à vient s’emboîter dans la partie femelle creuse (mortaise) de l’autre pièce.

Travée : espace séparant deux ossatures transversales. Espace compris entre deux fermes.
.
NOM DES DIFFERENTS TERMES DE LA TOITURE
Les lignes
L’arêtier: angle saillant formé par la rencontre de deux versants
La noue: angle rentrant formé par la rencontre de deux versants
Le faîtage: Ligne la plus haute d’un toit formé par la rencontre de deux versants.
Égout: ligne la plus basse d’un toit
La rive de tête: ligne la plus haute d’un toit venant en débordement ou en pénétration
La rive latérale: se trouve de chaque coté d’un versant et déborde du mur
La rive en pénétration : rive venant contre un mur
La ligne de bris: ligne formée par la rencontre du brisis et du terrasson
La saillie d’égout : dépassement de la charpente et de la couverture à l’égout.
La saillie de rive : dépassement de la charpente et de la couverture par rapport au mur de pignon .
Les surfaces
Le brisis : venant le plus pentu sur un comble à Mansart.
Le terrasson: versant le plus plat sur un comble à la Mansart
La croupe: versant triangulaire comportant deux arêtiers
Les ouvrages
Le chéneau : façonné métallique posé sur une fonçure en bois ou en béton. il assure l’évacuation des eaux pluviales.
La gouttière: façonné métallique ou en matière synthétique ,maintenu par des crochets ,elle assure l’évacuation des eaux pluviales.
La trappe d’accès: permet l’accès sur le toit depuis l’intérieur du comble.
La lucarne : ouvrage dont la structure est en pierre,en bois ou en maçonnerie , enveloppant une baie ouverte sur toit
Le châssis :ouvrage assurant l’éclairage ou permettant l’accès d’un toit.
La chatière :petit ouvrage assurant la ventilation d’un comble,il peut être en métal,en terre cuite,ou en matière synthétique.
Le poinçon : pièce de charpente verticale dépassant ou non de la toiture, lorsque il dépasse ,il est souvent recouvert d’un épi.
L’épi : ouvrage d’étanchéité et d’ornementation qui recouvre le poinçon,cette pièce peut être en métal ou en terre cuite
Les formes de toits:
Les toits à surface plane
TOIT A UN PAN OU APPENTIS
Formé d’un égout ,de deux rives latérales et d’une rive de tête .
TOIT A DEUX PANS
composé de deux versants
TOIT A QUATRE PENTES
Formé de deux versants et deux croupes formants quatre arêtiers.
TOIT EN PYRAMIDE
composé de quatre versants triangulaires formant quatre arêtiers.
TOIT EN AVANT CORPS
Pénétration d’un comble dans un autre,formant deux noues.
TOIT EN L
Retour de deux pans formant une noue d’un coté et un arêtier de l’autre
TOIT EN DOUBLE BATIERE
Pénétration de quatre deux pans,formant quatre noues
TOIT A LA MANSART
Formé par un brisis et un terrasson
TOIT POLYGONAL
toit de forme pyramidale ayant plus que quatre cotés.
TOIT EN FLECHE
Toit polygonal avec une grande longueur de versant et une forte pente
Les toit de bâtiments industriels
TOIT EN DOCK
Succession de deux pans couverts le plus souvent avec des éléments en verre,raccordés par des chéneaux.
TOIT EN SHED
Toit formé d’une faible pente couverte avec un matériau de couverture et d’une pente plus forte couverte d’éléments en verre,apportant de la lumière naturelle.
Les toits à surface courbe
TOUR OU TOURELLE
C’est un toit ayant un égout circulaire
TOIT CINTRE CONVEXE
C'est un toit bombé saillant vers l'exterieur
TOIT CINTRE CONCAVE
C'est un toit dont la partie courbe est en creux vers l'interieur
TOIT EN DOME
Toit dont la ligne de pente est courbe;
L’égout peut être circulaire ou à pans.
ABSIDE
Croupe ayant un égout circulaire.
CAMPANILE.BELVEDERE OU LANTERNEAU
Petite construction ouvragée posée
au sommet d’un toit (souvent en dôme)
TOIT A L’IMPERIAL
Pyramide de forme convexe et concave.
Les lucarnes
On distingue différents types de lucarnes et d’ouverture ,
elles servent à éclairer et aérer les combles et ajoute un certain cachet à la toiture.
Elles se composent généralement :
D’une façade ou d’un cadre en bois ou en pierre recevant la menuiserie.
De deux jouées triangulaires adossant la lucarne sur le versant principal.
De versant(s) qui peuvent avoir des formes très variées.
Les différentes lucarnes
LUCARNE A CHEVALET
Composée de deux versants,deux rives débordantes ,de deux noues.
LUCARNE A LA CAPUCINE
Composée de deux versants et d’une croupe formant deux arêtiers ,deux jouées et deux noues.
LA LUCARNE CINTREE
Composée de deux jouées et d’un toit cintré,sa pénétration dans le versant crée une noue circulaire.
LUCARNE A FRONTON DITE “FLAMANDE
C’est une lucarne à chevalet avec un fronton triangulaire en bois ou en pierre.
LUCARNE RAMPANTE
Composée de deux jouées et d’un versant de pente plus faible que celle du toit principal.
LUCARNE EN CHIEN ASSIS
Composée de deux jouées et d’un versant ayant une pente à l’inverse du toit principal; créant un chéneau.
LUCARNE EN CHAPEAU DE GENDARME
Composée d’un fronton arrondi et d’un versant de forme conique.
LUCARNE RAMPANTE A JOUEES GALBEES
Genre de lucarne rampante à jouées arrondies.
OUTEAU TRIANGULAIRE
Formé de deux versants triangulaires ,d’un faîtage et de deux noues,il sert surtout à l’aération des combles.
L’OEIL DE BOEUF
Ouvrage décoratif en bois , pierre ou métal ,il est généralement posé sur des toitures ouvragées.
LE CHASSIS DE TOIT OU FENETRE DE TOIT
Ces ouvrages servent à l’éclairage ainsi qu’a l’accès au toit .Le couvreur est souvent amené à en faire le chevêtre et à le poser.
Flèche, flèche tors : couverture de plan centré ayant un grand développement en hauteur, sa hauteur est supérieure à la largeur de sa base. Couverture de clocher très développée en hauteur, effilée.
Toit en bâtière : toit à deux versants et à pignons découverts, couvrant un corps de plan massé, notamment une tour.
Toit en carène : toit à deux versants galbés en doucine ou en talon renversé, évoquant par sa forme la carène d’un navire. Son galbe est celui du toit à l’impériale dont il ne se distingue que par son plan allongé.
Dôme : toit de plan centré à versant continu ou à pans, galbé en quart-de-rond. Son plan est habituellement circulaire et son volume, une convexité de révolution. Il peut être circulaire, ovale, carré, rectangulaire, polygonal. Le dôme hémisphérique est un dôme circulaire en plein-cintre. Un dôme peut-être à côtes (chacun de ses plans est convexe en plan), tors (les arêtes sont tournées en hélice), nervuré (la surface est divisée en segments par des nervures, sur un dôme polygonal, ces nervures couvrant les arêtes sont des arêtiers).
Bulbe : toit de plan centré à versant continu ou à pans, galbé suivant une courbe alternative concave ou convexe, les parties convexes formant des renflements qui surplombent les parties concaves. Ces renflements distinguent le bulbe du toit à l’impériale dont le volume diminue progressivement suivant le galbe (bulbe à cotes, voir dôme à cotes).
Toit à l’impériale : toit de plan centré à versant continu ou à pans, galbé en doucine ou en talon renversé. Ne pas confondre le toit à l’impériale avec le bulbe (courbure, contre-courbure). Les arêtes peuvent être cassées, formant ainsi des faces supplémentaires plus ou moins larges, jusqu’à obtenir 8 cotés réguliers.
Toit en terrasse: surface plane et à l’air libre servant de terminaison à la tour du clocher, le périmètre extérieur peut être délimité par un garde-corps.
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